point de rencontre

Présence inversée de l’arbre où les aplats blancs imposent le silence nécessaire à une lecture poétique de la forme, il n’y a pas de perspective mais un espace où le vide souligne les ramifications faisant écho au silence intérieur et créant en miroir l’espace et l’immobilité chez le regardant. L’effacement du fond donne toute respiration à la forme, rendant manifeste l’arbre dans sa présence « pour qu’il tienne sa promesse ».

 

 

Série de 6 tirages. Encres pigmentaires sur papier d’art Hahnemuhle, contrecollé sur dibon – 2009